L’évolution des populations d’insectes est évaluée à l’aide
de différents types de pièges alors que les conditions
météorologiques propices à la formation de maladies
fongiques sont enregistrées dans des stations informatisées,
permettant d’évaluer la présence et la sévérité des
infections.
Ainsi, le pomiculteur membre du CPPRQ ne traite qu’au
besoin, au lieu de traiter suivant un calendrier de prévention
traditionnel.